jeudi 27 juillet 2017

Avignon : 2e jour de festival


2017/07/11 

Nous avons réservé deux spectacles  pour cet après-midi. Nous arrivons vers 14 heures. Cette fois-ci se garer au Parking Piôt est un pensum : de nombreux véhicules stationnent dans les voies d’accès, les manœuvres sont délicates.

Dans la salle du Rouge Gorge, non loin du Palais des Papes, le premier spectacle que nous verrons est « Zorozora » – Une Histoire de la Musique. Nous sommes conquis. Un trio de jeunes musiciens nous tient en haleine. La mise en scène est de Richard Navarro. Hélène Durot était premier prix de clarinette à l’âge de 16 ans, Sylvain Rabourdin était quant à lui premier prix de violon , Charly Astié est le spécialiste des instruments à cordes. L’équipe se connaît dès sa tendre enfance. Un seul est resté dans le Sud, les autres sont à Bruxelles et à Paris. Mais le festival d’Avignon les rassemble cette fois-ci encore :  ils nous racontent avec leurs instruments et leurs costumes une histoire de la musique du paléolithique à l’époque actuelle.  Une mise en scène pertinente !

En attendant de repartir voir un autre spectacle, nous nous promenons et bavardons avec les auteurs, les metteurs en scène et les comédiens qui nous abordent aimablement pour présenter leurs pièces. C’est toujours un moment intéressant, parfois il est fugace parfois on s’attarde pour bavarder davantage. C’est là qu’on prend conscience que le choix est incommensurable : environ 3000 pièces seront jouées pendant le festival et les choix sont cornéliens.




 On repartira toujours un peu frustré de ne pas avoir pu voir la pièce attendue, car rapidement les théâtres sont complets. Ainsi nous ne pourrons voir « Quand souffle le vent du Nord » Nous comprendrons qu’il aurait mieux valu réserver par téléphone. Il faudra arriver assez tôt pour retirer les billets sinon ils sont remis en vente un quart d’heure avant le spectacle, parfois une demi-heure avant…


Nous retournerons dans la même salle pour aller voir "Ben Hur", un spectacle qui se veut une parodie du film. Tout est prétexte, sur le mode humoristique,  à critiquer les intégrismes religieux. Quatre personnages jouent des rôles féminins et masculins, avec plus ou moins de bonheur. Un peu décousu, mais on passe un bon moment.





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