Comme il nous faut quitter l’hôtel tôt pour éviter les embouteillages liés à des élections, un bus nous emmène à 7 h30 à l’aeroport.
Avant de partir, nous prenons un solide petit déjeuner dans une salle superbe, avec vue sur la piscine extérieure.
Nous profitons de ce bassin pendant quinze minutes , puis faisons un petit tour autour de luxueux hôtel de verre depuis lequel nous avions une vue plongeante sur un quartier typique qui commence à être bordé d’immeubles gigantesques, dont la plupart sont en construction.
Notre petite balade nous permet de voir jouer des enfants avec des jeux simplesfabtiques avec des matériaux de fortune : des fillettes font des voiliers avec du polystyrène et des bâtonnets de bois, un groupe joue aux osselets avec des pierres, certains se massent autour d’un bus inédit..
Un garçonnet de cinq six ans porte deux seaux d’eau. Il s’enfuit à la vue d l’appareil photo. Un cal al coule le long de cette petite route pavée. De jeunes femmes frottent leur linge au lavoir. Plus haut, une route, non plutôt une piste de terre rouge remonte au milieu d’un village aux constructions hétéroclites en bois, tôle, brique. De grosses pierres tiennent la tôle des toits qui pourraient s’envoler en saison cyclonique. On peut aisément imaginer l.etait de la route de terre pendant les intempéries.
De retour vers la route à Grande circulation, et assistons à la course joyeuse de quatre jeunes voituriers qui tirent leurs charrettes à bras. Une femme porte un ballot sur sa tête, un ouvrier un sac de ciment...le quartier est animé et le contraste est saisissant déjà sur le plan architectural.en face de l’hôtel des bâtiments imposants : banque d’Afrique, Leaderpric, MR Bricolage...une verrue, ce triangle gris qui jaillit de terre.
Depuis le Bus nous apercevons les rizières où s’affairent les Malgaches, des bovins broutent ...la route au revêtement impeccable est parallèle à des chemins de terre où circulent des vélos et des piétons.aux ronds points où ça bouchonnait la veille, on passe bien. Parfois copines agents en uniforme se regroupent la pour bavarder. Longeons la High school américaine...
Il nous faut patienter à l’aeroport : nous sommes 25 passagers d’Air Austral qui devions faire un détour par Mada pour faire le plein de kérosène à cause des gilets jaunes de la. Reunion, un voyage rallongé de plus d’une journée.Des Chinois veulent nous dépasser au contrôle des bagages, heureusement qu’un de nos compagnons manifeste sa colère dans une langue qu’il maîtrise.
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