lundi 13 novembre 2017

Réunion : Randonnée à Basse Vallée (2)

2e étape : Du Gîte de Basse Vallée au Gîte de Théophane et Yolaine (1h 30)

Toujours le lundi 11 novembre nous sommes en route dans la région de Basse Vallée. Après le pique-nique nous voilà prêts.
Il est 13h17 quand nous décidons de reprendre la route pour rejoindre le Gîte Théophane et Yolaine BEGUE



Avant de repartir, Isnel vérifie s’il n’y a pas de « zépine » dans sa chaussette. Nous quittons très vite le GR pour rejoindre le GR R2


Le sentier n’est pas difficile. Il descend. Nous sommes toujours à couvert et  le sol n’est pas glissant. 




Nous entrons dans un monde moins sauvage, nous voilà dans la plantation de palmistes de M. Bègue. Jean Paul en profite pour nous raconter les mésaventures du propriétaire qui las de se faire dévaliser s’est fait aider de gendarmes en planque pour mettre la main sur un coupeur de palmistes…une denrée très convoitée qui se vend très cher sur les étals des marchés.

Le chemin est agréable et nous entrons dans un jardin magnifique, un Eden !  l’allée qui conduit au gite est bordée d’arbres géants et de fleurs superbes : ananas ornemental, balisiers, roses de porcelaine.




Nous nous installons dans nos quartiers après avoir bu un jus d’orange proposé par notre hôte. Le gîte est carrelé, très propre et certains lits ont même des draps « Barbapapa » ce qui ravit  « Voussavezqui ». Puis nous choisissons nos couchages dans ces deux dortoirs de 6 et 7 places, et prenons une douche avant de nous retrouver tous ensemble sur la varangue avec d’autres visiteurs.

Nous restons bien une demi-heure à observer une papangue qui mange sur un perchoir. Un spectacle fascinant. Elle n’est pas apprivoisée, mais sait qu’elle trouve parfois de quoi manger ici, une attraction inédite pour le plus grand bonheur des passionnés de Nature.



J’emprunte une petit chemin qui fait le tour de la maison et rencontre là notre hôte qui fait faire le tour du proprio aux nouveaux arrivants : il nous explique la différence entre le palmiste rouge et le palmiste noir, entre le palmiste des hauts et le palmiste des bas.  Nous dirigeons nos pas sous d’énormes bambous, puis cueillons des cerises du Brésil, pas assez noires pour être assez mûres.

Le soir, nous buvons un rhum arrangé en apéro et chantons tous les refrains qui nous viennent en tête.
Dans le réfectoire où les tables sont dressées pour une trentaine de personnes, nous mangeons de la salade de palmistes à l’ananas en entrée. Suivent un cari au poulet, avec riz blanc et lentilles, des bâtons de songe –morue, du gâteau à la banane.


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