Quelle agréable surprise de voir toute cette foule de
coureurs, de familles, d’amis de sportifs réunis à ce rendez-vous
populaire !
Ambiance sympathique avec fond de musique sega et maloya.
Dès 7 heures du matin la troupe s’est élancée à l’assaut du Dimitile. Dénivelés importants, longueur du parcours n'ont pas de quoi décourager les participants qui s'entraînent pour la plupart régulièrement tout au long de l'année. On ne s'improvise pas "transdimitilien".
Il m’explique : "le premier, René Paul Vitry,
est arrivé après 2h55 de course". Cela le laisse pantois, mais il semble heureux
de son propre classement : être parmi les 100 premiers, c'est quand même pas mal ! « La difficulté, poursuit-il, résidait dans les 4
descentes et remontées de ravines. »
Mêlée à la foule, j’ai partagé les espoirs, joies des
participants et du public. Les papas, papys et mamans qui terminaient leur course, étaient escortés les derniers mètres par leur descendance.
Comme Domi, inscrite avec deux copines les a
précédées, nous avons attendu qu’elles arrivent.
J’étais impressionnée
par les progrès du « suivi des sportifs. » Grâce à leur GPS perso,
tous les amis connectés peuvent savoir où se trouve le ou la comparse. « Ca y est, elle est dans la
descente, elle doit souffrir, elle sera là dans vingt minutes… » Chacun y
va de son commentaire. Et quand on connaît le créneau dans lequel elle va
apparaître, on va au-devant d’elle pour l’accompagner dans ses dernières
foulées et la photographier à la remise des médailles.
Chacun remet son dossard, puis va consulter l’écran où s’affichent
les temps et les classements.
Hé oui je l'ai gagné ma médaille de finisher et quel plaisir d'être accueillie par une amie photographe avec qui j'ai partagé une dodo pression bien méritée .merci Jacqueline pour cette belle surprise .Domi B
RépondreSupprimer