Je descends en ville pour acheter de la peinture orange à la Comex place de La Paz. Quasi aucun touriste.
On me fait le mélange pour obtenir la teinte « Nieman naranja ». Au retour, je m’arrête à une ferretería pour acheter des crochets à vis pour pouvoir accrocher le linge. J’ai retenu la leçon et demande des « ganchos tornillos » avec des « taketes » et la dame me comprend.
Mais elle n’a pas de lunettes de soudure « lentes para soldar ». Je voulais épargner à Juan, le chef de chantier, le coup d’arc. Il soude toujours avec des lunettes de soleil.
Dans une autre « ferretería » (quincaillerie) je trouve une plaque de protection à mettre dans son casque de soudeur...
Incroyable le nombre de ferreterías qu’on peut trouver en ville. Ce sont de toutes petites boutiques. Et toutes ont des clients.
Je remonte dans le quartier Pastita non sans marquer un arrêt à la Panederia de la Luna et chez le marchand de fruits et légumes.
Beto est en train de démolir le mur pourri avec marteau et burin. Dire que j’ai passé 3 jours à gratter bêtement la peinture et le vieux crépi. Et là, lui en trois heures, il résout les problèmes.
Juan est en train de couper les barres pour faire le garde fou de la petite passerelle. Et Ismael continue de lisser les rampes de celosías.
Pendant ce temps Caro donne ses cours en ligne.
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