En Route vers le Vietnam
Participants : Émile, Sylvie, Olivier, Véronique, Jeanik. Betty, Claudette, Geneviève , Mariotte et moi.
Partons de Pierrefonds où nous devons remplir les formulaires de santé et de douane pour Maurice, démoustication obligée...
Vol de 45 minutes. Arrivée à Maurice, vue sur l'île où les lumières commencent à s'allumer , atterrissons avec note ATR à l'aéroport, il s'est considérablement agrandi depuis2009, revêtement en moquette, grandes Halles.on nous fait patienter très longtemps au passage des douanes. Passage à la sécurité alors que sommes en transit. Un groupe de musiciens donne un concert de l'autre côté et comme l'endroit n'est pas insonorisé, on a peine à entendre ce que disent les douaniers.
Embarquons une heure plus tard pour 9 heures de trajet vers Singapour et rebelote pour la démoustication... avion confortable, calme, sommes à l'avant, avons de la place pour nos jambes. Dans chaque aéroport à l'atterrissage la température extérieure était de 27 degrés.
L'arrivée à Singapour est surréaliste, nous voyons à travers le hublot une mer gris bleu semée de beaux bateau blancs noirs de toutes tailles, une carte postale ! et la ville est toute blanche : une quantité innombrable de buildings blancs rectangulaires s'élèvent ici.
Nous devons descendre du zinc sans nos bagages, on nous remet une carte de transit. Avons le temps d'apprécier la propreté légendaire de l'endroit. Ici aussi de la moquette, et le calme en dépit du nombre important de passagers.
Encore une fois nous passons au contrôle douanier. Ce qui nous surprend est que tous les personnels sont systématiquement fouillés avec un détecteur. Les tableaux d'arrivée et de départs sont bien lisibles. Moi qui m'attendais à devoir lire des écritures orientales, je suis rassurée, ont est écrit en lettres latines. Pas de mauvaise surprise. Et avec la compagnie air Mauritius nous avons droit à toutes les consignes en français jusqu'à Kuala Lumpur.
Encore une fois nous passons au contrôle douanier. Ce qui nous surprend est que tous les personnels sont systématiquement fouillés avec un détecteur. Les tableaux d'arrivée et de départs sont bien lisibles. Moi qui m'attendais à devoir lire des écritures orientales, je suis rassurée, ont est écrit en lettres latines. Pas de mauvaise surprise. Et avec la compagnie air Mauritius nous avons droit à toutes les consignes en français jusqu'à Kuala Lumpur.
Une heure plus tard nous descendons sur Kuala Lumpur. Là, le paysage n'a rien à voir avec celui de SIngapour. À perte de vue ce sont des palmeraies, des plantations, tout est vert et les bâtiments qui sont au milieu de cette verdure sont impersonnels, des bâtiments allongés à toits gris sans cachet. À 4 heures du matin, à notre arrivée .il nous faut avancer nos montres, il est dix heures...
Nous sommes épatés par l'aéroport international. C'est une structure de vitres et de couloirs bordes de boutiques ,tout ca gravitant autour d'une forêt Tropicale centrale à laquelle on peut accéder. Il y fait une chaleur torride.
Comme nous sommes fatigués nous demandons à pouvoir dormir dans des fauteuils. On nous indique les lounges à l'étage, il y en a pour toutes les bourses ,et même pour ceux qui ne peuvent pas payer. Nous refusons de donner quarante cinq euros pour cinq heures de sommeil, alors qu'on explique que le prix est le double.
Nous nous installons au mobile lounge, des films y passent mais nous n'aspirons qu'à une bonne sieste récupératrice.
Bientot nous décidons d'aller casser une graine.et plutôt que de nous faire avoir avec les euros nous allons changer nos euros contre des Rindi.. pour quarante euros, environ cinq quatre vingt rindi. Si nous avions donne des euros le repas aurait été bien plus cher, huit euros au lieu de cinq.
Quasiment toutes les filles ici portent un voile qui cache leur cou.
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