Escándanlo nocturno... l’expression existe bien mais...
Dans le quartier de Pastita, dans la case de Santo Niño, la nuit de samedi à dimanche a été épouvantable. Des voisins ont festoyé jusqu’à une heure très tardive, quasi 2 h du matin, à grand renfort de cris, de musique. Et là, quand tu trouves enfin le sommeil, vers 4 h du matin, un hurluberlu passe à pied dans la ruelle avec une radio à fond, comme s’il prenait un malin plaisir à réveiller le quartier.
Mais la chose est tout à fait normale, la cause de la gêne serait l’état de l’habitat : des murs peu épais des maisons, des vitres trop fines...
Et on ne doit surtout pas empêcher les gens de fêter. D’ailleurs, il s’agit de la 2e quinzaine du mois, le samedi c’est jour de paye et on dépense pour la fiesta, - de repos, il n’est pas question. Faut dire que la semaine du travailleur mexicain est très chargée et on ne compte pas ses heures...
Le couvre feu n’a pas cours ici malgré le nombre élevé de cas de Covid. On imagine mal dix ou 15 personnes à faire la nouba sans masque... Bien que les gens de ce quartier de Pastita soient très disciplinés le jour, il n’en est pas de même pour tous la nuit.
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