Le quartier des jardins : roseraie, jardin andalou, jardin japonais...
Nous prenons le bus 160 pour rejoindre le quartier de Palermo. Les transports en commun étant tous abordables, c’est une foule qui s’y presse, dans tous les sens du terme. Parfois on est serrés comme des sardines, mais on reste toujours courtois et on s’excuse de bousculer le voisin quand le cou de frein est brusque.
Nous descendons à l’arrêt « hipódromo » arrêt qu’il faut décliner au chauffeur avant de valider la carte Sube. Guillaume me fait remarquer que mon accent sur hipódromo était mal placé et qu’on ne peut pas me comprendre si je ne fais pas d’effort. J’avais accentué à la française...
Nous dirigeons nos pas vers la Roseraie. Encore un endroit verdoyant. Passons sous un ancien pont de chemin de fer, sous ses arches ont été aménagées des boutiques et cafés.
Arrivons près d’un plan d’eau et d’un musée de céramique. Des engins nautiques attendent le chaland.
L’endroit est attrayant pour le promeneur. L’accès aux parcs et jardin de la Roseraie,comme celui du jardin andalou est gratuit.
On accède à la roseraie par un pont blanc monumental.
Jardin andalou |
Ce jardin offert par le Japon à la ville en remerciement de l’accueil réservé à des migrants est très visité. On peut y déambuler, participer à des ateliers de peinture, acheter des bonsaïs, se restaurer. On en fait très vite le tour. Mais l’endroit est instructif, c’est un moyen de se familiariser avec les plantes et la culture orientale.
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