vendredi 27 décembre 2019

2019/12/21 Buenos Aires avec Caroline



Nous décidons de prendre le métro jusqu’à la station 
 et découvrir le quartier San Telmo à Palermo. 

Entrons dans le marché couvert. Caro ne veut pas manger ici dans le bruit de la foule. Nombreux touristes attablés...
Déjeunons à 15h30 chez Desnivel, un restaurant de la rue Defensa où mangent surtout des locaux. Aux murs des photos anciennes, de danseurs de tango, de bâtiments, de clubs de foot... 

Même Audrey Tautou y a sa place, elle a dédicacé sa photo aux restaurateurs. Le service est très lent mais nous avons pris l’habitude de patienter. C’est signe que le repas sera bien préparé. La viande est tendre à souhait. L’accompagnement est aussi très bon. Nous choisissons un petit vin, un Balbec. Cette fois encore, il faudra demander à emporter ce qui n’a pu être mangé sur place. 
Un couple de Porteños sexagénaires, des habitués de la maison, nous aborde. Ils ont veillé à ce que nous soyons 2019/12/21 Buenos Aires avec Caroline

Nous décidons de prendre le métro jusqu’à la station Indepedencia et découvrir le quartier San Telmo à Palermo. 

Entrons dans le marché couvert. Caro ne veut pas manger ici dans le bruit de la foule. Nombreux touristes attablés...
Déjeunons à 15h30 chez Desnivel, un restaurant de la rue Defensa où mangent surtout des locaux. Aux murs des photos anciennes, de danseurs de tango, de bâtiments, de clubs de foot... Même Audrey Tautou y a sa place, elle a dédicacé sa photo aux restaurateurs. Le service est très lent mais nous avons pris l’habitude de patienter. C’est signe que le repas sera bien préparé. La viande est tendre à souhait. L’accompagnement est aussi très bon. Nous choisissons un petit vin, un Balbec. Cette fois encore, il faudra demander à emporter ce qui n’a pu être mangé sur place. 
Un couple de Porteños sexagénaires, des habitués de la maison, nous aborde. Ils ont veillé que nous soyons servis avant eux, car venus avant. Cette amabilité a de quoi nous étonner et nous réjouir car elle est générale ici. Impensable à Paris ou d’autres villes de métropole. Dans le métro, je réalise que j’ai pris de l’âge, vu le nombre de personnes qui se lèvent chaque fois pour me céder leur place. Refuser semble même impoli. Alors j’en profite.
Arrivons à la Place Dorrego encore occupée par des terrasses de clients et des artisans vendant des matés et des bombillas, des jouets, des bijoux, des créations locales, rien qui serait importé de Chine ou d’ailleurs. Ici existe un contrat entre les vendeurs et la ville qui stipule que ce qui proposé doit être de l’artisanat effectivement local.
Nous quittons le restaurant et nous dirigeons vers la basilique de Bethlem. 

Juste avant, nous voyons que l’exposition un Mercedes Sosa, une chanteuse argentine mondialement connue, est encore accessible. C’est dans une aile de l’ancien couvent que se tient cette exposition. Affiches de ses concerts dans le monde, objets perso, vidéo de sa vie, textes qui lui sont consacrés....Dans la cour, un podium et des musiciens. Près à accueillir un concert ce soir.

La basilique. 
Sur la façade de cet édifice datant de 1734,  une plaque qui rappelle la fièvre  jaune qui a sévi en 1871 et le courage de ceux du quartier de San Telmo qui ont combattu cette épidémie dantesque.

L’édifice est sobre, Image du pape François, A l’entrée à droite ST Jacques de Compostelle...
Non loin de là se trouve la maison de la famille Ezeiza, le patio del’Tiempo, où nous allons nous installer en terrasse près d’un fabricant de couteaux...
Remontons la rue San Juan et restons un moment dans le parc Pezenas à regarder des jeunes danser au son de tambours. 

servis avant eux, car venus avant. Cette amabilité a de quoi nous étonner et nous réjouir car elle est générale ici. Impensable à Paris ou d’autres villes de métropole. Dans le métro, je réalise que j’ai pris de l’âge, vu le nombre de personnes qui se lèvent chaque fois pour me céder leur place. Refuser semble même impoli. Alors j’en profite.

Arrivons à la Place Dorrego encore occupée par des terrasses de clients et des artisans vendant des matés et des bombillas, des jouets, des bijoux, des créations locales, rien qui serait importé de Chine ou d’ailleurs. Ici existe un contrat entre les vendeurs et la ville qui stipule que ce qui proposé doit être de l’artisanat effectivement local.

Nous quittons le restaurant et nous dirigeons vers la basilique de Bethlem. 

Juste avant, nous voyons que l’exposition un Mercedes 
Sosa, une chanteuse argentine mondialement connue, est encore accessible. C’est dans une aile de l’ancien couvent que se tient cette exposition. Affiches de ses concerts dans le monde, objets perso, vidéo de sa vie, textes qui lui sont consacrés....Dans la cour, un podium et des musiciens. Près à accueillir un concert ce soir.



La basilique. 
Sur la façade de cet édifice datant de 1734,  une plaque qui rappelle la fièvre  jaune qui a sévi en 1871 et le courage de ceux du quartier de San Telmo qui ont combattu cette épidémie dantesque.

L’édifice est sobre, Image du pape François, A l’entrée à droite ST Jacques de Compostelle...
Non loin de là se trouve la maison de la famille Ezeiza, le patio del’Tiempo, où nous allons nous installer en terrasse près d’un fabricant de couteaux...
Remontons la rue San Juan et restons un moment dans le parc Pezenas à regarder des jeunes danser au son de tambours. 


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