Isla de Tabarca |
Nous sommes partis à 11 h d'Alicante avec le Kon Tiki -18 euros le trajet. La mer est belle, nous montons sur le pont et nous asseyons à l'arrière. il est midi quand nous arrivons
Le port d'Alicante |
Dès que nous avons posé le pied dans le petit port, nous sommes allés vers la gauche pour flâner pendant plus d'une heure dans ce havre de paix, où nichent des mouettes, où lézardent quelques touristes, dans des criques de galets ou de Sable gris...
Parfois, nous hésitons et faisons un petit détour pour éviter de nous approcher d'oisillons surveillés par leurs parents.
Quelques murs s'élèvent au milieu de la végétation, une gosse tour, lus loin un sémaphore et au boit de l'île, un cimetière à la porte cadenassée.
Nous revoilà près du port où une demi douzaine de restaurants attendent le client, et nous décidons de visiter la deuxième partie de cette terre, celle qui est habitée.
Nous sommes conquis par l'endroit : une porte en pierres donne sur une jolie allée pavée bordée de maisonnettes blanches. De petites places avec des terrasses nous invitent à nous asseoir pour boire un coup. Deux rues parallèles à la centrale sont les seules voies qu'on peut emprunter avec les transversales.
Un joli chemin longe la fortification depuis la pointe jusqu'à l'église. On est bien.
Nous mettrons une petite quinzaine de minutes pour découvrir le village et cette langue de terre.
Dans un restaurant dont on nous avait remis une pub, nous déjeunons : un repas complet boisson comprise pour 12 euros. La salle donne sur la plage où j'emmène faire trempette.
Le retour est éprouvant avec cette école bruyante, même assommante qui occupe le premier niveau du bateau : la plupart des encadrants sont assis à l'avant du bateau loin de leurs marmailles, une seule enseignante essaye de calmer une soixantaine d'enfants. En vain. Une heure de criailleries, un enfer !
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