mercredi 24 février 2016

2016/02/24 Circulation à Bangkok


Nous ne sommes pas fâchées de quitter cette mégalopole, même si nous y avons eu des moments très forts, comme notamment la balade sur les Klongs (ou canaux) et la visite du Wat Phou.
 Ici le ciel est toujours gris, une chape couvre la ville du matin au soir. À aucun moment le ciel ne vire au bleu. Et la circulation est toujours dense. Pour rejoindre la première station du BTS Bangkok Sky Train, les taxis ont mis entre trois quarts d'heure à une heure trente.
Pour rejoindre l'autoroute, il faut s'armer de patience, les bretelles sont saturées, surtout le matin aux heures de pointe et l'après midi. Le seul moment encore acceptable est la période comprise entre 10 h30 et 12 heures.

Nous avons commandé un taxi ce matin à 11 heures pour arriver à 12 h30 à l'aéroport international. C'était un beau taxi tout rose sans bouddha sur le tableau de bord. Nous avons réglé  les péages de 50 et 25 bahts et avons convenu d'un forfait de 300 bahts pour la course.

Le péage


Notre chauffeur qui parlait à peine anglais était aimable. Iĺ slalomait, empiétait sur les bandes d'arrêt
d'urgence, dépassait la vitesse autorisée. Au lieu des 80 réglementaires, il osait les 120...les énormes panneaux publicitaires le long de la highway et les immeubles très hauts donnaient le vertige. Et
toujours ce fond de toile gris...gris... Rien d'humain. Que du béton, du métal, du verre... L'homme semble absent de ce décor. On se demande comment on peut "vivre" ainsi.
Gratte-ciel, panneaux publicitaires géants, grisaille



Sur l'auroroute vers l'aéroport




C'est la première mosquée que nous voyons en Thaïlande. 



Bientôt les immeubles sont moins hauts et nous longeons le city rail train celui qui relie la ville à l'aéroport en 15 ou 30 minutes. 


En arrivant à l'aéroport internet national, nous passons obligatoirement sous un panneau à la gloire du monarque et de son épouse. Nous voilà arrivées au terminal...











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